Il y a quelques semaines de cela, bien décidée à changer du tout au tout, j’optais pour un nouveau mode de vie alimentaire. Oui, seulement alimentaire. Je préfère le préciser car vous imaginez bien que je n’aurai pu, en aucun cas, (sauf peut-être si on m’avait promis de finir le restant de ma vie avec Hugh Grant) quitter mon onzième parisien et ma vie d’ex-Toulousaine pour m’exiler au Pérou et élever des lamas.
A croire donc, que la grisaille parisienne me convenait bien (bon pas des masses non plus) et qu’il était juste temps de prendre les bonnes décisions. Pour se faire, (attention, ci dessous la recette du bonheur) résolument motivée, j’ai décidé de mieux m’alimenter, ou plutôt différemment. Parce-que OUI, c’est une réalité, un fait clair, net et universellement reconnu : l’état de notre santé dépend en grande partie de notre alimentation.
Après m’être suffisamment renseignée sur le sujet et consulté deux spécialistes de renoms, le programme de remise à niveau (si c’est aussi dur que l’apprentissage de l’anglais, je me pends) était le suivant :
- FINI LES SUCRES : c’était l’objectif NUMÉRO UN, celui qui porte la médaille d’or sur le podium. Il fallait que j’arrête le sucre rapide. Grosse addict, complètement droguée, entre gâteaux, viennoiseries et desserts en tout genre, il m’était impossible de finir un repas sans une note sucrée. Ou de me taper des sessions de grignotages 3 fois dans la journée, pour finir, amorphe, quasi endormie et improductive au possible, allongée sur la canapé. Désormais, c’était un gros SALUT, définitivement.
- BYE-BYE LE GLUTEN : arrêtons d’apparenter le « gluten free » à une mode. Non, c’est juste qu’il est chimiquement difficile d’absorber pizzas, pain, pâtes, soufflés au fromage et j’en passe, sans être ballonnée au minimum. Pour ma part, je touchais enfin du doigt ce qui me gênais depuis si longtemps. Terminado la demi-baguette avec trois cuillères de Nutella (oui, j’ai pleuré en écrivant ça)
- ADIOS LE LAIT DE VACHE : Voici la dernière et très importante résolution que je prenais, peut-être la plus dure des trois. Arrêter complètement le lait de vache. Dans l’idéal, je ne vous cache pas qu’il aurait fallu arrêter tous laits confondus, en l’occurrence brebis, chèvre et vache. Mais n’ayant pas envie d’échouer sur cette remise en forme et d’entendre deux semaines après « tu n’as pas tenu ton nouveau rythme, c’est un échec cuisant », je décidais ainsi de ne stopper que le lait de vache, dit maternel. Ca paraît peu, mais c’est déjà énorme. Imaginez, ZÉRO fromages, petits suisses, yaourts, crèmes, pâtisseries, mayonnaise, chocolat, brioches, pains au lait, fromage blanc… A ce stade, ça me semblait insurmontable. ARRÊTER LE FROMAGE ?! Je suis le genre de nana qui pourrait créer une carte de fidélité chez son fromager, tant la fréquence de mes dégustations est importante. Le fromage c’est ma vie. Et le lait aussi. Comment allais-je agrémenter mes smoothies? Et mes crêpes party?
« Mangez cinq fruits et légumes par jour », « L’abus d’alcool est dangereux pour la santé »… Ce genre de jolies phrases qui te rappellent que la soirée pizza bières de vendredi, c’était pas du fake, mais que dorénavant, c’est fini. J’ai découvert à travers mon expérience que l’alimentation a un impact terrible sur des tas de choses que j’ignorai dès lors. Le sucre est une DROGUE, le gluten n’est pas nécessaire à la survie de l’espèce et le lait de vache créer, entre autre, de l’acné (je comprends mieux tout à coup).
Alors pour survivre à cette guerre sans merci, je devais trouver des produits de substitutions efficaces.
N’ayant globalement pas été gâtée par la nature (je nommerai mon cas de morphologie poteau), mon métabolisme de base était dur à combattre. Dernière d’une famille de trois, enfant sage, j’ai été élevée aux kinders pingouis, Buenos, maxi, country et shokobons (coucou maman et papa, je vous aime quand même), et je buvais tous les jours 1 litre de lait (oui vous avez bien lu), alors croyez-moi, ça n’aide pas. Et quand on n’a pas le choix, on cherche, on fouine, on se renseigne, et on trouve des ALTERNATIVES. C’est une obligation, si on ne veut pas finir par craquer après deux semaines de sevrage.
Ce qui m’a sauvée, c’est LA MANDORLE. Remplacer le lait de vache par du lait d’amande ressemblait étrangement à du bonheur en poudre, et c’était ce qui m’attendait désormais. Cette marque française, basée à Paris, propose toute une gamme variée et gourmande de boissons végétales, naturellement sans lait et sans gluten pour ceux qui cherchent une alternative au lait de vache, de soja ou d’avoine. Elle utilise la richesse nutritionnelle des fruits sec et présente des poudres instantanées à 65% de fruits purs ou associés à des graines germées et d’autres compléments naturels agissant en parfaite synergie. Et l’amande sur le cheese-cake (oh ça va, on peut toujours rêver), c’est du BIO. Et OUI. Désormais j’utilise leurs produits au quotidien, je prépare mes boissons et smoothies avec le shaker gradué qui facilite les préparations. Et Pour les fat gourmands comme moi, il existe aussi des saveurs originales comme noisettes, chocolat, lait de coco…
Nous sommes le 8 septembre et ma vie prend un autre tournant (on se croirait dans un polar, non?) Le challenge est dur à relever, mais je vais y arriver. Merci mille fois à LA MANDORLE, l’alternative saine et équilibrée sans qui mes journées seraient fades et SANS LAIT !
PS : si toi aussi t’es en plein changement drastique et que tu veux pimenter tes soirées, laisses un petit commentaire, on s’fera des smoothies au lait d’amande en écoutant du Johnny !
L’Espace Conseil & Vente La Mandorle est ouvert tous les mercredis de 10h à 13h & de 14h à 18h.
Rendez-vous au 23 avenue Reille – 75014 Paris pour découvrir leur gamme complète et profiter de conseils personnalisés !
Pour y accéder :
Bus 216 & 21 Arrêt Montsouris – Métro 6 Arrêt Glacière
RER B Arrêt Cité Universitaire
Tram 3a Arrêt Parc Montsouris / Cité Universitaire
Tél : 01.43.13.14.54